Le Strap s’apprête à vibrer à nouveau sous les sortilèges d’un trio pas comme les autres. Avec une guitare, un violon et une flûte, ils réinventent les légendes celtes en musique. J’ai tendu l’oreille pour percer le mystère de leur alchimie sonore. Rencontre avec Raphaël Meneghelli le chanteur du groupe.
Si votre trio était un esprit celtique qui hanterait le Strap, quelle créature ou quel élément seriez-vous?
Le dragon me vient à l’esprit là maintenant
Votre musique est une invitation au voyage. Quelle contrée celtique imaginaire, le public du Strap découvrira-t-il en fermant les yeux pendant votre concert?
Une contrée moyenâgeuse comme la forêt de Brocéliande ou Fribourg à l’ancienne époque.
Quel souvenir vous revient en tête en pensant à votre première expérience au Strap?
La toute première fois que la violoniste a rejoint le groupe. Un bon moment avec un trac perturbateur et stimulant à la fois. Nous avions interprété Toi mon Cœur, titre que j’avais écrit en Bretagne.
Si vous deviez décrire l’âme de votre musique pour le public du Strap en trois mots quels seraient-ils?
Joie, positivité et plaisir de partager
Jouer de la musique c’est un besoin, une envie ou une folie?
Les trois carrément et on peut rajouter beaucoup de passion. Dans le trio chacun amène sa pierre à l’édifice au niveau des arrangements musicaux et de la composition également.
Interview: Stefanie Rossier